RÉSERVE
RÉSERVE
Notre philosophie est simple : nous voulons que Loma del Ángel soit un endroit où l’on se sent chez soi. Dès le début, l’objectif a été de créer un espace accueillant avec une atmosphère intime et exclusive afin que les hôtes puissent vivre une expérience authentique. Cette idée d’excellence se traduit dans chacune de nos valeurs:
Nous pensons que la véritable expression de l’amour se trouve dans les détails. Nous aimons soigner chaque recoin de la maison avec des objets soigneusement choisis au cours de nos voyages, en apportant des meubles de France et des tapis d’Inde, ou en créant nos propres arômes pour que l’atmosphère soit vraiment unique, pleine de symbolisme et de calme. Nous voulons que l’amour de ce que nous faisons transparaisse à la fois dans le décor exclusif et dans l’énergie fantastique avec laquelle nous offrons notre service hautement personnalisé. Nous voulons que votre séjour soit parfait et inoubliable.
Nous ne voulons pas être un hôtel comme les autres. Chaque décision est prise avec la plus grande originalité : il n’y a pas deux coins identiques, tout comme il n’y a pas deux clients identiques. L’un de nos traits distinctifs est la grande importance que nous accordons au pouvoir des sens, en mettant l’accent sur l’odorat, en accordant une grande importance aux arômes et aux fleurs dans chaque chambre, à la musique d’ambiance dans tout l’espace, à la possibilité de participer à la cuisine pour goûter avant même de s’asseoir à la table…
Au cœur de la Vieille Havane se trouve le Barrio del Angel : l’un des endroits les plus pittoresques et attrayants de la capitale infatigable et joyeuse, avec ses belles voitures anciennes et sa rumba festive toujours en arrière-plan. C’est ici que le célèbre écrivain Cirilo Villaverde a été inspiré pour écrire l’un des joyaux de la littérature cubaine : « Cecilia Valdés o la Loma del Ángel », écrit en 1839 et considéré comme le premier roman de l’île. Depuis la Plazuela del Angel, on accède au sommet de la colline, d’où l’on peut contempler le majestueux Malecón Habanero. Dans ses rues, on peut s’immerger dans des couleurs et des saveurs incomparables, en apprenant une façon unique de vivre dans chacun de ses recoins, d’où les « anges » veillent sur nous et nous invitent à profiter de cette merveilleuse ville.
Tout ce que nous faisons, nous le faisons par passion. Loma del Ángel est le point de rencontre de tout ce qui forge notre identité : les voyages à travers le monde, les expériences sensorielles, le soin conscient de soi et, bien sûr, l’âme de cette Cuba magique.
Nous voulons que la vitalité, la force et la féminité qui rayonnent de notre île bien-aimée grandissent en chacun de nos hôtes pendant leur séjour au Loma del Ángel Boutique Hotel, qu’ils ressentent la fascination que notre fondatrice a éprouvée lorsqu’elle a traversé pour la première fois les rues étroites du quartier et l’illusion pure qui l’a amenée à créer un coin si spécial au cœur de La Havane. Quelque chose d’aussi unique ne peut être né que d’une passion absolue pour la vie.
Écrit en 1882, il raconte l’histoire tragique d’une mulâtre cubaine, Cecilia Valdés, une métisse qui, en raison de sa couleur et de sa beauté, sera appelée la « Virgencita de bronce » (petite Vierge de bronze) par les galants de La Havane.
Dans le roman, elle apparaît comme la fille illégitime d’un gentilhomme et d’une femme brune. Au fil du temps, dans l’imaginaire national, elle représentera la femme créole et deviendra le paradigme de ce qui est cubain. Cette mulâtresse sensuelle, espiègle et captivante, courtisée par tous les hommes sans distinction de race ou de classe et aspirant à s’élever socialement, frustrée par sa condition et sa naissance, devient Pandora ou Helena. Plaidoyer anti-esclavagiste, l’œuvre réussit à décrire l’environnement colonial cubain du début du XIXe siècle, les injustices sociales et surtout l’ignominie de l’esclavage. L’auteur du roman, Cirilo Villaverde (1812-1894), fut l’un des narrateurs les plus prolifiques de la littérature cubaine et le précurseur de la production romanesque dans l’île. Son œuvre, de qualité irrégulière, s’inscrit dans le cadre du romantisme et est entachée de ses excès, mais reflète néanmoins un contexte social et humain qui transcende son époque et fait de Villaverde un auteur fondamental du XIXe siècle.
Eulalia de Lucía est la fondatrice du Boutique Hotel Loma del Ángel : une femme d’affaires passionnée, une rêveuse invétérée et une amoureuse des voyages qui connaît très bien l’île en raison de sa carrière professionnelle. Un jour, par pur hasard, elle découvre la rue où se trouve l’hôtel et tombe amoureuse de l’endroit. Avec enthousiasme et beaucoup de volonté, elle a décidé de rénover un bâtiment presque en ruine et, petit à petit, de le transformer en cet espace unique et magique que tant de clients considèrent déjà comme leur maison à La Havane.
Eulalia de Lucia est également le nom d’une marque d’accessoires et de compléments qu’elle a elle-même créée. Ses créations, naturelles et élégantes, sont des pièces uniques et exclusives fabriquées à la main selon des techniques ancestrales de l’Équateur. Qualité, délicatesse, originalité et respect de l’environnement sont ses piliers. L’île de Cuba a toujours été une grande source d’inspiration pour la marque, de même que le Loma del Angel Boutique Hotel, où Eulalia de Lucia a vendu ses premiers modèles.
VISITER
